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Ce n’est pas grave : l’impact des mots sur le cerveau des enfants

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Parentalité

Ce n’est pas grave : l’impact des mots sur le cerveau des enfants

  • 22 Oct, 2024
  • 0
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Ne pas de faire cesser les pleurs mais accompagner l’enfant dans ses émotions

« Ce n’est pas grave » cinq petits mots naturellement prononcés mais qui ont un impact insoupçonné sur le cerveau 🧠 des enfants.

Cette phrase a certes une intention bienveillante, rassurer l’enfant et faire cesser ses pleurs.

Même si pour la plupart des pros, stopper les pleurs rime avec mieux être pour l’enfant, il est surtout question d’accompagner la gestion de ses émotions, car le tout petit ne peut s’apaiser seul. 

Alors et si aujourd’hui on proclamait 📣 une bonne fois pour toute que cesser les pleurs n’est pas la mission des professionnels de la petite enfance ! 

En effet, le tout-petit doit toujours trouver des réponses à ses pleurs, mais le rôle de l’adulte n’est pas simplement de les faire cesser, mais de comprendre et d’accompagner ses émotions.

L'importance de l'écoute active et de la fiabilité relationnelle pour l'épanouissement des enfants

La fiabilité relationnelle est primordiale pour le jeune enfant car elle établit un cadre de sécurité et de confiance qui est essentiel pour son développement émotionnel et cognitif. Lorsqu’un enfant peut compter sur la constance et la prévisibilité des réponses des adultes, il développe un sentiment de sécurité intérieure 😌 qui lui permet d’explorer le monde avec confiance et de nouer des relations saines. 

Cette stabilité relationnelle favorise également la régulation émotionnelle et l’attachement sécurisé, qui sont fondamentaux pour le développement de la résilience et de l’estime de soi.

Si l’utilisation de ces 5 petits mots a l’air inoffensive, dire à un jeune enfant « ce n’est pas grave » lorsqu’il pleure, se fait mal, est très contrarié, peut minimiser ses émotions 😭😢 et ne pas lui permettre de les exprimer et de les comprendre. 

Les enfants vivent leurs émotions de manière intense et immédiate. 

Les rassurer en leur disant que « ce n’est pas grave » peut les empêcher de reconnaître et de valider ce qu’ils ressentent. 

Au lieu de cela, il est plus utile de les aider à identifier et à exprimer leurs émotions 🔎, en leur offrant du réconfort et en les aidant à comprendre ce qu’ils ressentent. 

Cela les invite à gérer leurs émotions de manière plus constructive et favorise un attachement sécurisant avec l’adulte.

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Comment pleurer aide les enfants à réguler le stress et à développer leur résilience émotionnelle ?

Alors que le stress, la colère et autre émotion dite « négative » provoque la sécrétion du cortisol (communément appelée l’hormone du stress). Cette sécrétion a plusieurs effets sur le corps dont l’augmentation des fréquences cardiaque 💗 et respiratoire.

Un stress prolongé et des niveaux élevés de cortisol peuvent altérer le développement du cerveau de l’enfant, affectant sa mémoire, ses émotions et son comportement.

Par contre on sait aussi maintenant, que des traces de cortisol sont présentes dans les larmes permettant d’en diminuer le taux et aidant l’enfant à se rassurer.

Pleurer aide donc les enfants à gérer et à réduire le stress 😌 en permettant une expression émotionnelle, en libérant des tensions, en sollicitant du soutien, et en favorisant des réponses biologiques qui diminuent le cortisol.

Pour revenir à nos fameux cinq petits mots, la phrase « ce n’est pas grave » et le ton utilisé pour la dire minimisent les émotions de l’enfant et lui communiquent finalement le message sous-jacent : « Tu pleures pour rien. » 😳

Du point de vue de l’enfant, ce qui lui arrive est important, non maîtrisé, non contrôlé et il a besoin d’aide pour s’en sortir.

Adopter le point de vue de l’enfant pour favoriser la confiance et l’apaisement

Les interprétations des actions des enfants doivent se faire à partir de son point de vue du monde et non pas celui des adultes, car son cerveau n’est pas encore prêt !

Comme par exemple lorsque vous venez de poser une limite à l’enfant et qu’il vous sourit 😀 vous pourriez vous dire “Il sourit pour se moquer de moi !” 

L’enfant ne veut à aucun moment se mettre l’adulte à dos, il a comme principale envie de faire plaisir à l’adulte, il n’a aucune intention malveillante. Il cherche le sourire qui est bien plus rassurant que des yeux plissés. 

De plus, l’enfant n’a pas la capacité de comprendre la négation. Quand on dit “ne cours pas” il entend “cours”; “ne pleure pas”, pleure ; “ce n’est pas grave”, grave 🤯. Cela ne peut pas le rassurer. 

Dans un premier temps, il est préférable de mettre des mots sur le sentiment de l’enfant « tu as l’air triste », « tu as l’air en colère » et lui proposer un câlin (« voudrais-tu venir dans mes bras ? »). 

S’il ne le souhaite pas respecter son choix et rester proche de lui (d’accord je comprends, je reste à côté de toi si tu changes d’avis).

Le câlin ou votre proximité déclenche la sécrétion d’ocytocine (communément appelée l’hormone du bonheur) et permet également la diminution du taux de cortisol 🤲.

Ces actions bienveillantes montreront ainsi à l’enfant qu’il peut compter sur l’adulte. Il apprendra donc au fur et à mesure à gérer ses émotions et peut être que la prochaine fois la production de cortisol sera moindre pour une situation similaire.

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